SynopsisL'étoile noir de Mu est un loop. Dans un certain sens c'est un roman sans temps, sans tête ni queue, parce que la tête correspond à la queue en un circuler retour. Il y a un procès d'identification dans lequel le même temps on personnalise et s'arrête sur une chaise à observer les événements. La pulpe de cette image ronde est donnée de multiples polysémiques univers contenus un dans l'autre, afin de parvenir à résultats en miroir. L'héroïne est l'anarchie, élément prince de la narration sur lequelle se greffent les différents personnages, comme les épingles sur un coussin. La trame est mixte de surréel et réalité du passé et du présent. Telles représentations apparaissent déformées en symboles rapportés constamment à un au-delà métaphysique qui acquiert chair et sang comme entité réelle outre-humaine. Le mobile de l'action est le pouvoir pour lequel se renverse sang innocent. L'histoire se dilate dans la place temporale d'une potentielle chute sur la Terre Au-dessus qu' offrira occasion et instrument pour chanter la chanson de Mu et de sienne capitale Dailorg, forteresse de la libre Terre Au-dessous où les habitants peuvent mourir, mais ils ne vieillissent jamais parce que les choses éternelles ne changent pas dans le sens traditionnel du terme. Le mal, incarné par le sorcier, qui bat les grenouilles, violera avec l'art de la magie noire, à travers la porte du doute, le parallélisme entre les mondes. Le sentier nacré des Grandes Mères génératrices de Mu, tremblera au s'installer d'un ordre phallocentrique et étatiste dont les soldats seront groupes de morts. La résistance muenne, cependant, dévoilera revers imprévus en dépassant l'Inconnaissable Outre jusqu'à la perspective philosophique de l'antimatière.